Do à dos, un musicien et deux performeuses s’inspirent mutuellement pour créer une oeuvre ephémère, musicale et chorégraphique, dans la poésie de l’instantané.
Un concert qui devient visuel… La musique s’improvise autour des univers musicaux de Pierre Mer (tango, jazz, classique, trad, pop) ; les images se construisent alors, empruntant au théâtre muet et à la danse contemporaine. Tout se rencontre, se raconte et se mêle, invitant votre esprit à vagabonder au gré des notes et des corps… do à dos.
Durée : 60 à 75mn
Ce que disent nos spectateurs
ADRIEN R., entrepreneur
Difficile, 1h30 d’improvisation ? Pas pour eux, qui varient les scènes, le rythme et le style afin de nous relaxer, de nous faire réfléchir, de nous choquer parfois et de nous faire rire.
J’ai particulièrement aimé le passage du milieu, qui permet de marquer les différentes étapes du spectacle, si bien qu’on se demande si c’est le piano qui décide de la chorégraphie ou les danseuses qui enrichissent le piano. On y reconnaît aussi la construction similaire aux matchs d’improvisation, il y a un réel répondant entre les deux danseuses. Ce spectacle est une ôde à la vie en société, où le tout est supérieur à la somme des trois parties.
JOHANNA T., actrice
C’est un spectacle qui éveille nos sens. D’abord par la diversité mélodique qu’apporte le musicien mais aussi par la complémentarité avec la comédienne, danseuse, qui par son corps, ses expressions, nous emmène dans des univers des plus colorés.
Une belle complicité sur scène !
CORALIE M., metteuse en scène
Se cherchant parfois, se trouvant souvent, les interprètes s’accordent pour nous donner à voir et à entendre – ou bien l’inverse – des moments spontanés, généreux. On voudrait des choses parfois plus simples, moins physiques, des personnages qui prennent le temps de se construire et de raconter leur histoire. La musique est toujours belle : elle vient du coeur de son pianiste, libre comme les notes qu’il laisse échapper au contact de ses doigts. Il s’autorise à se tromper pour faire naître de ses erreurs d’heureux accidents puis des mélodies entraînantes.